La Boverie



Fabris Remouchamps…
La Boverie
Le hub encyclo wallon
Avec un hub comme dans concentrateur : nous sommes un portail d’accès privilégié vers nos propres publications, comme vers d’autres sites documentaires de qualité. Avec encyclo parce vous y trouverez des savoirs mais pas d’annonces ‘pipole’ ou de pubs. Et avec l’adjectif wallon parce que le citoyen critique de Wallonie et de Bruxelles y découvrira son bon plaisir et en ressortira… plus malin (et, croyez-nous, ça fait du bien) ! En plus, cette année, nous passons à la vitesse supérieure et nous lançons un kiosque de services, tous reliés aux articles de l’encyclo, nous ajoutons un espace privilégié qui sera réservé à nos abonnés et nous développons un réseau d’édition coopératif pour mieux trouver, éditer et diffuser les savoirs, à travers toute la Belgique francophone.
Freddy, notre vieux Maî-Maître (comme Dafou aimait t’appeler)
Tu nous manques, tu me manques…
Frederick Beunckens ou Frédéric Beunckens ou Freddy Beunckens (Ougrée, 1938 – Liège, 2009) est un peintre belge d’origine flamande, de son vrai nom Alfred Beunckens.
Élève de Robert Crommelynck à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Liège où il a lui-même enseigné pendant plus de trente ans. Frederick Beunckens pratiquait une peinture tour à tour intimiste (une série de toiles où il se représente en train de se suicider), truculente (de nombreuses peintures à la fois érotiques et cocasses) et extrêmement politisée (voir sa relecture en six tableaux de La Mort de Marat de Louis David où la Statue de la Liberté, en lieu et place de Charlotte Corday, poignarde divers personnages – dont le peintre lui-même – dans leur baignoire). Il demeura fidèle à la peinture figurative.
Amoureux de Cuba où il vivait plusieurs mois par an au cours des dernières années de sa vie, il a vu ses toiles exposées au Museo de la Revolucion de La Havane en 1998. Frederick Beunckens a également illustré, Du ring aux abattoirs, livre à tirage limité (24 exemplaires) de Charles Bukowski, Higny éditeur, Liège 1984.
Freddy nous a quitté en Février 2009.
Fabris Remouchamps revisite les 1OO sexes d’artistes affichés rue du Champion (anciens bordels) en leur appliquant une recette de clichés postmodernes .
Jacques Charlier
Crédit photographique: J-C Deprez, Kina, Jocelyne Chaineux, Pierre Rigaux, Jean Louis Massart et Dominique Houcmant “Goldo“.
c’est un roman-photo qui a débuté par une photo lors d’une de nos promenades, Michel et moi.
La fabuleuse histoire de Michel M. c’est 400 photos de décembre 2010 à octobre 2018
Cette histoire est à voir et commenter sur facebook.
Salle Saint Georges – Musée d’art Wallons – Liége 2009
C’est pour décrire nos vides que nos rides écrivent nos vies.
Mais la blancheur des os estompe l’orgueil du sang.
débuté en 2005
Les oiseaux – 50 ans, sans oiseaux …
installation en collaboration avec Adelin Donnay
Centre Culturel de Seraing – 2013